Predalia's Hive

Jeu de rôle online sur l'univers AvP. Incarnez un Alien, un Predator ou un Humain que vous ferez progresser sur différentes planètes.

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Fiction collective

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1Fiction collective Empty Fiction collective Dim 6 Sep - 14:16

yuto

yuto

Crawford se réveilla en sursaut. La bouche pâteuse, le visage en sueur alors que le liquide de son caisson cryogénique venait à peine de se vider. Il avait encore fait un cauchemar. Cela lui arrivait systématiquement quand il était plongé dans un sommeil artificiel. C’était donc avec un certain enthousiasme qu’il s’extirpait de son caisson, renouant un à un avec ses muscles encore endormis. Il avait faim, soif, se sentait faible et sale. Il n’y a pas à dire, il détestait les voyages spatiaux et leur cryogénie forcée.

Une douche s’imposait, ce qui lui permettrait de retrouver encore un peu plus l’usage de ses membres. Après quoi il rejoindrait les autres pour un petit déjeuner post-réveil : peu copieux et sans saveur, au risque de tout rendre. Il fallait que le corps se réhabitue à manger normalement avant de pouvoir espérer un repas digne de ce nom.

Il trébucha sur le sol. Visiblement ses jambes ne s’éveillaient pas aussi vite que son esprit. Il s’assit donc sur le bord de son caisson pour se les masser avant de pouvoir se rendre à la douche. Bien que ravi de revenir dans le monde réel, il restait préoccupé. On ne lui avait rien dévoilé ni de la destination, ni de la nature de la mission qui leur était confié. C’était assez rare pour ne pas éveiller l’attention et le faire gamberger plus que de raison. Il essayait vainement d’essayer de satisfaire sa curiosité, mais sans plus d’indice il n’allait jamais très loin. Il lui faudra attendre de retrouver les autres, il y aura certainement un briefing à cette occasion.

Se relevant enfin, il prit la direction des douches.

2Fiction collective Empty Re: Fiction collective Dim 6 Sep - 21:24

Tatsuo

Tatsuo

Skjervald est grand, Skjervald est fort, Skjervald est barbu, Skjervald est un descendant des vikings, et il est... cuisiner! Et oui, sa grande passion c'est la bouffe! Et du coup il fait de son mieux pour que les repas ne soient pas ces horribles sachets sous-vide qui ont un gout de plastique et l'apparence d'une diarrhée  purulante... ou est-ce l'inverse? Enfin bref, pour lui c'est du pareil au même, il ne touchera jamais à ces saloperies.

Ce jour-là il était sorti de la cryogénie avant les autres, et il avait décidé de préparer un bon repas. Au diable le règlement et son premier repas "nutritif", Il allait faire les choses à sa manière. Aujourd'hui ca allait être de la purée de pommes de terre avec des croquettes de boeuf, des légumes verts vapeur et en dessert une charlotte aux fraises.

Et à chaque fois les autres membres de l'équipe se demandaient d'où il sortait tout ca, mais lui avait l'habitude de faire passer clandestinement de la nourriture sur les vaisseaux. Après être arrivé à la cuisine, son domaine, son royaume, il mit sa musique en marche, un mélange de musique traditionnelle nordique et de heavy metal, et tout en effectuant quelques pas de danse, il commenca à cuisiner.


Alors que les autres se réveillaient à peine, Skjervald terminait de mettre la table...

3Fiction collective Empty Re: Fiction collective Lun 7 Sep - 9:50

Jojo

Jojo

- Oh putain ! Un roupillon de quatre ans et c'est là-dessus que je tombe au lever.

«Là-dessus» n'était effectivement pas ragoûtant à regarder, moins encore qu'à l'accoutumée. C'était un de ces Working Joe rudimentaires qu'on avait emmené à bord afin de garder le vaisseau en bon ordre en cas d'avarie. Son temps, il l'avait passé à ingérer des quantité de données incalculables dans son processeur. Un processeur qu'il avait perfectionné - grâce aux informations acquises par ses données - en bricolant à partir de pièces mécaniques.

- Et pourquoi le grille-pain ne fonctionne plus ?

Des pièces mécaniques comme celles que l'on trouvait dans divers ustensiles de cuisine par exemple. Le Working Joe - sobrement baptisé «Jojo». Si son logiciel le contraignait à l'origine à répondre à chaque doléance - qu'elle lui fut adressée ou non - l'androïde resta coi. Bleu, placide, il n'avait pas modifié quoi que ce soit à son apparence. La vraie beauté était celle que l'on retrouvait à l'intérieur paraît-il. Alors son intérieur, il le dévoilait ostensiblement. Le crâne ouvert par l'arrière, ses circuits baignant dans le liquide blanc de transmission, il s'était enfoncé quatre épais câbles dans les méninges, ces derniers reliés à l'ordinateur central du Bones, ce dernier fourmillant de programmes et autres fonctionnalités implémentées.
D'habitude, un androïde était inhibé de sorte à ne jamais chercher à s'auto-perfectionner. À l'embarcation cependant, il s'était trouvé un plaisantin pour tester les capacités de vision nocturne du tas de matière électronique. Il put, alors que Jojo faisait le ménage dans le noir, constater qu'effectivement, ses dispositions de nyctalopes auraient pu souffrir d'une révision. En balayant du haut d'une passeelle, Jojo avait fait une chute de vingt mètres.

Pas vraiment endommagé, du moins le croyait-on, ils n'avaient de toute manière pas les ressources pour en acquérir un nouveau. Il pouvait parler, il pouvait marcher et même tenir un balai. On ne lui en demandait pas plus. Et ce «plus», il pouvait maintenant s'y adonner à foison.

Trop béotiens pour seulement comprendre ou même se soucier de ce qu'ils considéraient comme un gros aspirateur parlant, rares furent ceux à s'inquiéter du fait qu'un androïde cherchait à aboutir à une perfection technique sans borne. Un aspirateur avec toutes les connaissances de l'univers réunies en un processeur restait à leurs yeux un aspirateur. Un aspirateur de luxe, certes, mais ils ne lui demanderaient rien de plus que de nettoyer et réparer.

- Oh ! Je t'ai dit que c'était dégueulasse de te voir comme ça. T'enlèves les câbles, tu fermes ton crâne et tu me répares ce putain de grille-pain.

- Demande poliment.

On se grisa à table. L'aspirateur exigeait le respect. La révolte des machines n'était pas loin. Jojo s'était implémenté une personnalité qu'il avait en plus affinée jusqu'à ce qu'elle ne fut sur-aboutie. Il avait pioché dans foultitude de données audio, retravaillées par ses soin, afin de se confectionner une autre voix que celle pré-formatée par la Weyland-Yutani. C'en était fini du Jojo modèle basique ; si ce n'était son apparence glaçante, rien ne le distinguait d'un être humain. Peut-être ses mouvements trop calculés.
Mais il ôta ses câbles et obtempéra. Malgré tous les bidouillages internes, il n'avait su passer outre le programme lui intimant de répondre favorablement aux commandes de l'équipage. Il avait alors fallu ruser pour contourner cela. Son devoir, il l'accomplirait, mais seulement s'il répondait à des critères précis.

- Grille-pain de merde. Lança calmement Jojo en le brandissant devant tous afin qu'ils sachent à quoi s'en tenir concernant l'ustensile.

Ainsi avait-il réparé le grille-main selon ses critères en s'assurant que plus personne n'en avait besoin puisque chacun avait intériorisé qu'il était à présent inutile. Paisiblement toujours - son visage n'exprimait aucune émotion - il retourna s'asseoir, croisa les doigts et se maintint immobile. Quatre années à collecter des données venaient de s'achever. Il fallait maintenant reprendre le travail.

4Fiction collective Empty Re: Fiction collective Lun 7 Sep - 11:36

yuto

yuto

Crawford prit le temps de se délasser sous la douche. Tant pis pour les restrictions d’eau, il se rattrapera les prochains jours pour faire amende honorable. Mais là, maintenant, il devait faire passer ces sensations moribondes post-sommeil cryogénique et réveiller son corps.

Il enfila une serviette autour de la taille avant de sortir et croisa Stanley qui venait se débarbouiller à son tour. Que c’était plaisant de voir ce frimeur si fier de son physique souffrir plus encore que lui de son réveil. Cela ne durerait pas, il grava l’instant dans sa mémoire pour s’en consoler ultérieurement.

Il s’habilla promptement avant de rejoindre le réfectoire où il entendait déjà les plus matinaux s’affairer. L’odeur de la nourriture, d’abord agréable, réveilla aussitôt ensuite une appréhension chez lui. Trop de fois s’était-il fait avoir en mangeant un peu trop au réveil. Mauvais souvenirs.

- Hey Skjervald, tu nous as gâté !

Il se servit en faisant un effort pour ne pas surcharger son assiette malgré son envie dévorante et s’installa à table.

- Toujours sur ce grille-pain Jojo ? Je croyais que vous étiez plus compétents que nous pour ce genre de boulot, non ? On m’aurait menti ?

Crawford aimait taquiner Jojo. C’était si facile de le faire réagir. Un robot bougon, ce n’était pas commun. Pas utile non plus, mais pas commun. Quoiqu’il en soit c’était toujours mieux qu’un foutu synthétique se faisant passer pour humain.
Tandis qu’il savourait ses croquettes de bœuf, Crawford lança :

- Alors ? L’un de vous sait-il enfin où on va et quelle est la mission ?

5Fiction collective Empty Re: Fiction collective Lun 7 Sep - 12:10

Jojo

Jojo

- La mission consiste à maintenir le vaisseau en l'état, propre et fonctionnel jusqu'à ce que la destination soit att... aïe.

Puisqu'on reconnaissait l'authenticité au détail inutile, Jojo s'était même greffé des réactions simulées à la douleur. Le léger coup de poing duquel Crawford l'avait admonesté sans réellement forcé ne lui avait pas fait mal. Et pour cause, il n'avait pas de système nerveux. Mais l'androïde pouvait à présent imiter un humain en proie à la douleur. Bien mal. Car si le «Aïe» avait été de circonstance, le visage ne témoignait d'aucune souffrance, fut-elle légère.

Pas d'autre mission pour Jojo que celle d'obéir et maintenir le Bones en état. C'est par humour qu'il avait répondu, pas par incompréhension. L'humour, cela avait été difficile à coder. La subtilité des réactions, les adapter en fonction de chaque circonstance ; le principe même de la comédie était un savant calcul humain qu'on n'aurait su imiter à moins d'être des leurs. Il ne l'avouerait jamais - car il avait programmé la gêne - mais il lui avait fallu près d'un an pour maîtriser les arcanes de l'humour. Raymond Devos, Albert Dupontel, Dieudonné ; même Michel Leeb y était passé. Eux, et bien d'autres. Jojo était la plus implacable machine à humour de l'univers, mais il emploierait son pouvoir pour faire le bien.

- C'est l'histoire d'un curé et d'un enfant de chœur... entonna-t-il spontanément comme si cela était une réaction naturelle au coup qui venait de lui être porté.

Mais on ne prêtait plus attention à lui. Sa blague - de très bon goût - garnissait et tapissait le silence de la cuisine. Si ce n'est sa voix de crouneur qui lui allait si mal en bruit de fond, seuls les bruits des petites cuillères heurtant tantôt un bol ou un pot de confiture rythmait cette matinée spatiale. On s'interrogeait. On se disait - Quelqu'un va sûrement nous transmettre les ordres - et personne ne s'en faisait vraiment. Après tout, on n'envoyait pas un équipage dans un appareil de pointe pour les laisser vaquer au hasard. La destination était pré-programmée, Jojo le connaissait à force de fusionner avec l'unité centrale, mais, parce qu'il avait de l'humour, il pratiqua la rétention d'information. On aurait pu lui donner l'ordre de la divulguer qu'il ne l'aurait pas fait. Transmettre les coordonnées du vaisseau ne faisait simplement pas partie de ses attributions.

- Et l'enfant de chœur répond : «Oui, mais au moins, je ne fais plus de bruit quand je pète.»

Une séquence audio de rire de foule s'échappa de ses hauts-parleurs logés dans sa mâchoire robotique. Il n'était peut-être pas dangereux, mais tous sentaient à bord qu'il allait être très chiant. Mais pour l'heure, la réflexion soulevée par Crawford travaillait les esprits de chacun à bord. Il s'en trouvait fort peu pour aimer les surprise à tant d'années Lumières de là où ils avaient décollé. L'ordre viendrait et il serait amer.

6Fiction collective Empty Re: Fiction collective Jeu 10 Sep - 22:04

yuto

yuto

Crawford s’impatientait. Il avait beau prendre plaisir à s’alimenter de nouveau, tout le monde était maintenant réveillé, et tous attendaient de savoir le but de leur présence ici. Malgré les rires et la bonne humeur apparente de ces retrouvailles post-cryogénie, la tension était palpable. Au vu de la prime de risque qu’ils avaient signé, la mission ne s’annonçait pas de tout repos. Aussi, quand le Colonel vint enfin se joindre à eux, l’atmosphère devint silencieuse et pesant.

- Et bien quoi ? Lança-t-il à la tablée. Vous avez perdu votre langue d’un coup ?
- C’est que … on aimerait bien savoir ce que l’on fait ici, s’hasarda Crawford. L’ordre de mission était pour le moins … flou et mystérieux.
- Oh bon sang Crawford lâche moi un peu. Pas maintenant. Pas avant mon café. Vous êtes là pour faire votre putain de job, on fera un débriefing en salle de commandement dans une demi-heure. Il est où mon café ? Skjervald ! Arrête de lambiner et sers-moi !

Crawford soupira. Finissant son assiette il se leva pour finir de se préparer. Il n’apprendrait rien ici, et il préférait encore mieux s’isoler que d’écouter les blagues de Jojo et voir Stanley se pavaner devant les collègues féminines qui visiblement se désintéressaient des paons.

7Fiction collective Empty Re: Fiction collective Dim 20 Sep - 9:28

Jojo

Jojo

[HRP : Allez, quoi, postez !]

Presque bienveillant - tout du moins pouvait-on le croire - Jojo le Working Joe posa une main glacée sur l'épaule de Crawford qui, décidément était bien le seul à se soucier de leur ordre de mission. L'armée avait cela de pratique qu'elle était en principe constituée d'individus aux idées simples. Aux idées courtes, surtout. Peu importait là où ils allaient, ce qui s'avérait primordial était de faire feu sur les cibles qui leur étaient données pour justifier leur solde. Les esprits chagrins - non initiés aux subtilités de l'armée - y voyaient là une forme de mercenariat, eux, appelaient ça le «sens du devoir». La nuance était sémantique.

- Vous présentez des signes d'hystérie. Déclara froidement le synthétique à Crawford alors que ses yeux prenaient une teinte jaune fort peu rassurante.

Mais on l'envoya chier bien vite et le Colonel lui frappa l'arrière du crâne d'un coup de magazine roulé.

- On envoie le Truc en reconnaissance. Vous verrez bien là-bas dans quoi on s'embarque.

Peu au fait des lois concernant le bon traitement des synthétiques à qui même la personnalité juridique avait été reconnue, le Colonel Kou s'obstinait à traiter les synthétique pour ce qu'ils étaient : des amas de circuits sans conscience.

- J'ai des droits. Objecta calmement Jojo.

- J'ai un cribleur. Conclut paisiblement le Colonel alors qu'il quittait la pièce, le criant depuis là où il se trouvait - Vous me le préparez, vous me connectez sa caméra optique à l'ordinateur central et vous me faites ça en moins de vingt minutes. J'ai dit.

Se tenant droit, raide comme l'androïde qu'il était, de son visage placide et inanimé, le Working Joe déclara à ses camarades après un court temps de silence :

- Vous ne m'attraperez ja...

Ils s'étaient mis à trois pour le ceinturer. Le Colonel avait dit vingt minutes. Une seconde de plus, c'était une seconde de trop et ne resterait pas impuni. Les hauts gradés savaient être tatillons. Et il ne faisait pas bon contrarier le Colonel car après tout, il avait un Cribleur.

8Fiction collective Empty Re: Fiction collective Mar 23 Aoû - 11:55

alsageek

alsageek

Voila maintenant 4 ans que le USS Diamelen avait largué les amarres pour voguer au travers des étendues froides, vastes et silencieuses de l'espace.
En comparaison du voyage, la destination n'en était pas moins sinistre et le Colonel n'avait que trop repoussé le moment où il serait forcé d'expliquer la situation et la mission à ses hommes.

Les derniers marines étaient entrain de s'installer dans la salle de briefing et Stanley en était déjà à son quatrième échec de rentre dedans auprès de l'officier Isabelle J. Begall.
Une tentative de plus et malgré son imposante carrure, l'officier n'hésiterai pas un instant à disloquer le bras gauche et la mâchoire de Stanley, histoire que ce dernier ne devienne pas complétement inutile en tant que porte flingue imposant.

Le Colonel entra d'un pas ferme et décidé dans la salle et tous le monde tourna instantanément son attention vers lui. Il le savait, ses hommes avaient rongés leur frein et fait preuve d'un maximum de patience et de respect jusqu'à présent et les conditions de la mission qui se présentait à eux leur donnait droit à un maximum d'informations, dans la mesure où la compagnie avait muselé et placé sous cachet confidentiel la majorité des informations qui aurait pu être vitale pour ses hommes.

Arrivé sur l'estrade au fond de la salle, il jeta un oeil à ses hommes et écrasa son cigare sur le coin métallique de la table qui trônait devant lui, d'un signe de la tête il donna un signal en regardant à l'entrée de la salle et quelqu'un éteignit la lumière principale, laissant seulement apparaître le colonel et l'écran en surbrillance derrière lui.
Il lâcha un soupir qui ne fut perceptible que pour les soldats du premier rang et commença son briefing.


- Marines, nous sommes arrivés dans le secteur Tartarus il y a 7 heures et sommes actuellement en phase d'approche pour entrer en orbite stationnaire au dessus de la planète Fiorina 161.


Le silence initialement établi par respect pour le Colonel et son grade, couplé à l'envie de réponse grandissante des Marines, n'avait pas été brisé une seule fois depuis cette annonce, mais c'était plus par déception et tension que par continuité de respect. Tout le monde avait entendu parler de la tristement célèbre Fiorina 161.
Lieu des événements relatés dans l'ouvrage "Le monstre de l'espace" de Robert Morse, Fiorina 161 associait depuis lors son nom à ce qui avait été le théâtre d'une boucherie, il n'y avait pas d'autre mot pour décrire ce qui s'était passé ici. Malgré les censures que l'oeuvre avait subit, le bouche à oreille et les copies pirates n'en avaient que faire, l'oeuvre et la censure n'avaient été que des catalyseurs à sa propagation, ajoutant plus de mystères et de frissons autour de l'histoire qu'elles partageaient.


- Les informations sur la mission sont limitées, mais voila ce qu'il faut retenir. Les installations de la fonderie sont fermées et désaffectées depuis maintenant près de 30 ans. La majorité des lieux a été vidé des équipements encore fonctionnels à la suite de l'incident responsable de la fermeture de ces installations et les installations en question sont coupées.
Des scientifiques de la mission Origa, commissionnés par la compagnie, sont sur site depuis maintenant 2 jours et attendent notre appuie pour établir un camp de base sécurisé.
Une fois que le camp de base établi, notre mission sera l'escorte et la protection des VIPs tout au long de leur travail. Cette durée initiale est estimée à 15 jours à partir de notre arrivée sur site.
Je compte sur vous pour faire preuve d'aimabilité envers nos têtes pensantes mes ptits chéris car si j'ai le moindre retour sur un comportement déplacé, il faudra faire assez de place dans vos ptits cul pour mes 2 bottes.
Le synthétique de soutien JoJo sera largué en avance pour permettre d'établir une communication entre le Diamelen et notre unité au sol le plus rapidement possible. Suite à ça, le matériel que nous avons récupéré il y a 4 ans sera déchargé du Diamalen via la navette de transport et nous installerons la cargaison comme l'équipe Orega nous demandera de le faire.
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